D’ici 2015, tous les lieux recevant du public devraient être accessibles aux personnes handicapées. Telle était la promesse faite par la loi sur le handicap, votée en 2005. À quatre ans de l’échéance, pas plus de 15 % des bâtiments sont aux normes. Et c’est la quatrième fois en deux ans que le gouvernement tente de contourner ce principe d’accessibilité universelle.
Jean-Marie Barbier, président de l’Association des paralysés de France, revient pour LexTimes.fr sur la décision du Conseil constitutionnel et plus largement sur la question centrale de l’accessibilité pour les handicapés: